Interview Paul Bahoken

« Les gens ne s’entendent pas. Une simple entente entre tous ces belligérants, remettrait cette équipe à sa véritable place. »

Ancien Lion indomptable et père de l’international camerounais  Stéphane Bahoken, joueur de Kayserispor, club turc de première division, Paul Bahoken (en vacances au Cameroun), a accepté de répondre aux questions de TKC. Dans un entretien à bâtons rompus, l’ancien attaquant de Tonnerre de Yaoundé ressasse son passage chez les « Kalara boy »s et se prononce sur l’actualité du club.

Suivez vous l’actualité de votre ancien club Tonnerre de Yaoundé ?

A un moment donné oui. Après le désordre s’est installé au sein du club, il n’y avait plus moyen de faire quoi que ce soit.

Selon vous, pourquoi l’équipe peine ces dernières années ?

Parce que les gens ne s’entendent pas. Une simple entente entre tous ces belligérants, remettrait cette équipe à sa véritable place.

En tant qu’entraîneur n’avez vous jamais songé à donner un coup de main à votre ancien club pour essayer de le sauver ?

Je n’aurais jamais réussi à donner un coup de main au Tonnerre. Il y avait deux Tonnerre et deux présidents. À partir de là rien ne peut sauver l’équipe.

Comment avez-vous rejoint le TKC à l’époque ?

C’est suite à une rencontre entre mon équipe de l’époque Stade de Douala-Canon de Yaoundé en quart de finale de la coupe du Cameroun que j’ai l’opportunité de me faire remarquer par le Tonnerre. Mais, déjà, il y avait un monsieur appelé Roger Milia qui avait au préalable parlé de moi aux dirigeants du TKC.

Quel souvenir gardez-vous du TKC ?

Le seul souvenir était tout simplement d’avoir été champion du Cameroun en 1984.

Quels sont vos vœux pour le TKC en 2025 ?

C’est tout simplement de voir le TKC retrouver sa vraie place en ligue 1.

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